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WEB et Politique, la France de 2007 !

30 mai 2007

Premiers questionnements sur mon mémoire de recherche...

Un petit document téléchargeable : mes réfléxions autour de mon sujet de Mémoire !

[Réflexions sur le Mémoire de Recherche - Internet et les présidentielles 2007]

Je vous laisse faire des commentaires !

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30 mai 2007

Le bilan du PS sur l'impact du WEB durant les présidentielles

Vidéo intéréssante sur Dailymotion : le bilan du directeur de campagne Internet de Ségolène Royal, Benoît Thieulin (diffusé pour la première fois le 21 Mars 2007)


Net campagne : Benoît Thieulin
envoyé par PartiSocialiste

Interview également de De La Brosse, nouveau chargé de communication de Nicolas Sarkozy : c'est lui qui a privilégié une communication axée "sur le modèle du marketing sportif" :


de la Brosse, communicant de Sarkozy
envoyé par marianne2007

30 mai 2007

"La Campagne du Net" : le film d'Arte sur les présidentielles...

Un film très intéressant analysant l'impact du WEB durant la campagne présidentielle de 2007 :

http://blogs.arte.tv/e-campagne_2007/frontUser.do?method=getHomePage&rubricId=10090&blogName=e-campagne_2007

29 mai 2007

Présidentielles sur le Net : des statistiques et des premières analyses

Netpolitique référence un certain nombre d'enquête sur l'activité des internautes pendant la campagne présidentielle...

Le site LeMonde.fr publie une étude Médiamétrie sur l'audience d'Internet pendant les derniers moments des présidentielles 2007 :

- Selon le journaliste, en six mois, les sites consacrés à l'élection ont vu leur nombre de visiteurs progresser de 253 % : ils étaient 1,5 million d'internautes à s'être connectés en octobre 2006 sur des pages traitant de l'éléction. Ce chiffre a atteint 5,2 millions en Mars 2007, selon une enquête Médiamétrie/Netratings auprès d'un panel de 8 000 internautes (domicile et bureau).

- Pour analyser la campagne sur Internet, Médiamétrie a segmenté le Web en six groupes. Il y a d'abord les médias : sites d'information (TF1/LCI, France 2 et 3, M6, RTL, RMC et Europe 1) site des quotidiens de presse généralistes (comme Le Monde.fr), des grands portails comme MSN, Orange, Yahoo et AOL qui ont tous consacré de larges rubriques à l'événement. Deuxième catégorie : les sites officiels des partis et ceux des candidats. A celà s'ajoute aussi les sites et les blogs citoyens (des jeunes militants, des journalistes et personnalités blogueurs influentes, et enfin les sites satiriques et humoristiques).

- Il y a une nette préférence des internautes pour les pages des candidats (1 million de visites en mars) plutôt que pour celles des appareils (676 000 visites en mars).*

- Bémol cependant, puisque seuls 412 000 internautes sont allés lire les notes des principaux journalistes et bloggeurs politiques du WEB :  Jean-Michel Aphatie, Pierre-Luc Séguillon, John-Paul Lepers, Loïc Le Meur, Nicolas Vanbremeersch ou encore de Karl Zero. Un chiffre qui illustre selon Le Monde la difficulté à se faire entendre dans le "grand brouhaha de la blogosphère".

Ifop publie également des informations sur la fréquentation des internautes durant la campagne présidentielle :

l'Ifop a réalisé une étude auprès d'un échantillon de 1004 individus inscrits sur les listes électorales et représentatif de la population internaute française les 19 et 20 avril 2007, à la veille du premier tour.

De manière générale :

- La recherche d'informations sur l'actualité politique est la première activité pratiquée sur la toile par les internautes au cours de la campagne des présidentielles : elle représente 44% des activités. En outre, 25% des répondants ont visité le site d'au moins un candidat de l'élection. 19% des internautes ont eu recours aux vidéos politique mises en lignes, et 18% ont visités des blogs politiques.

- De plus, le rôle des internautes en tant que relais d'information auprès de leurs proches et amis atteint un niveau non négligeable : 14% ont transféré à leur entourage des informations sur la campagne par courrier électronique et 12% a recommandé un site politique à des proches. Au total, ce serait 3 à 4 millions d'internautes qui ont transmis des contenus politiques à leurs proches au cours de la campagne électorale.

Voilà les trois grands résultats que nous révèle l'enquête Ifop :

1. Tout d’abord, il y aurait un intérêt élevé pour la présidentielle mais avec des jugements contrastés à son égard.

L'intérêt des internautes pour la campagne présidentielle a atteint, à l'approche du premier tour, un niveau élevé, 76% des répondants affirmant être « très » (29%) ou « assez intéressé » (47%), soit un score nettement supérieur à celui observé lors de la première enquête réalisée fin novembre 2006 (64%).

Il semble également que l'intérêt manifesté par les internautes pour l'actualité électorale s'avère d'autant plus élevé qu'ils disposent d'un capital culturel élevé et sont issus des catégories sociales supérieures. Ainsi, l'intérêt pour la campagne présidentielle oscille entre 61% chez les personnes peu voire pas du tout diplômées et 84% des les titulaires d'un diplôme de l'enseignement supérieur, et entre 75% chez les ouvriers et 87% chez les cadres et les professions libérales.

Parallèlement, Ifop constate une nette amélioration du regard porté par les internautes sur le déroulement de la campagne, le pôle des satisfaits passant de 27% à 40%, soit une progression de 13 points en cinq mois. Toutefois, la proportion d'internautes mécontents atteint un niveau équivalent (39%), en baisse toutefois de 7 points. Restent 21% d'internautes indifférents (contre 27% en novembre 2006). Plus précisément, ces perceptions apparaissent pour le moins hétérogènes d'un segment politique à un autre.

2. Le « cyber-citoyen » est un internaute pas tout à fait comme les autres : quelle représentativité ?

Près de la moitié des internautes interrogés (49%) déclare ne pratiquer aucune des sept activités politiques testées au cours de cette enquête, soit une proportion légèrement inférieure à celle observée en novembre 2006 (54%). A l'inverse, 17% des interviewés en ont pratiqué une seule et 34% deux ou plus.

L’évolution des profils entre novembre 2006 et avril 2007 atteste d'une féminisation et d'un rajeunissement importants du public pratiquant des activités politiques sur la toile. En l'espace de cinq mois, la proportion de femmes est en effet passée de 36% à 44%, celle des internautes âgés de moins de 35 ans s'élevant parallèlement de 34% à 46%.

De plus, la proportion d'internautes déclarant se connecter « plusieurs fois par jour » régresse (48%, -9 points), ce qui laisse à penser que la netcampagne présidentielle s'est également traduite par l'arrivée d'un public moins familier de cet outil que ne l'était celui interrogé en novembre 2006.

L'intérêt élevé des électeurs pour la campagne présidentielle s'est traduit par une atténuation non négligeable, le temps d'une campagne électorale, des fractures politiques et numériques mises à jour en novembre 2006. Ainsi, l'intérêt exprimé pour la campagne présidentielle apparaît comme le facteur le plus clivant : seuls 11% des internautes peu ou pas du tout intéressés par la campagne ont pratiqué au moins deux des sept activités testées contre 60% de ceux manifestant un intérêt élevé.

3. Une information politique principalement assurée par les sites de la presse écrite et ceux des chaînes de télévision.

La recherche d'informations sur l'actualité politique constitue la première des activités politiques pratiquées sur la toile par les internautes au cours de l'élection présidentielle.

Pour s'informer en ligne sur l'actualité politique, les internautes ont massivement privilégié les sites d'information de la presse écrite. Ces derniers obtiennent en fin de campagne un taux de citation comparable à celui observé en novembre 2006 (61% de réponses). Les sites d'information des chaînes de télévision enregistrent une nette progression (49%, +15 points) au détriment des portails d'information généralistes qui, tout en étant cités par plus d'un tiers des interviewés (36%), voient leur importance s'éroder de 14 points. Les sites d'information des radios (32%, -2 points) arrivent en quatrième position.

Dans le détail, le recours à ces différents sites pour obtenir des informations sur l'actualité politique peut varier sensiblement d'un segment de la population internaute à un autre. A titre d'exemple, les sites d'information de la presse écrite ont été davantage sollicités par les hommes que par les femmes (66% contre 54%), de même que par les cadres supérieurs et les professions libérales en comparaison avec les ouvriers (77% contre 42%).

A l'inverse, ceux des chaînes de télévision ont su attirer une majorité de femmes (59%) et d'ouvriers (57%). Quant aux portails d'information généralistes, leur public s'apparente davantage à celui des sites de la presse écrite : 40% des hommes les ont utilisés contre 30% des femmes, de même que 50% des cadres et professions libérales contre seulement 19% des ouvriers.

Parallèlement, le rôle des internautes en tant que relais d'information auprès de leurs proches atteint un niveau non négligeable : 14% ont transféré à leur entourage des informations sur la campagne par courrier électronique et une proportion comparable a recommandé un site politique à des proches (12%, soit une pratique en progression de 5 points par rapport à novembre). Si l'on extrapole ces résultats à la population internautes française en âge de voter, ce sont 3 à 4 millions d'internautes qui ont transmis des contenus politiques à leurs proches au cours de la campagne électorale.

Certains segments de distinguent des autres par une activité politique plus intense que les autres. Généralement, il s'agit d'un public plutôt masculin et jeune, étudiant ou issu des catégories sociales supérieures, diplômé de l'enseignement supérieur et résidant en Ile-de-France. Logiquement, la probabilité de pratiquer une ou plusieurs des ces activités politiques s'avère d'autant plus élevée que les répondants manifestent un intérêt élevé pour l'élection présidentielle et expriment une attache partisane. Il s'agit également d'internautes aguerris, maîtrisant le web et se connectant à Internet plusieurs fois par jour.

Dans un second temps, il est intéressant de constater que certaines activités politiques renvoient fréquemment à des électorats spécifiques. Ainsi, les électeurs de Ségolène Royal et François Bayrou au premier tour de l'élection présidentielle ont davantage eu recours à Internet pour s'informer que ceux de Nicolas Sarkozy et Jean-Marie Le Pen (respectivement 56% et 51% contre 42% et 37%). Deux éléments permettent d'expliquer ces écarts non négligeables : les structures générationnelles et socioprofessionnelles de leurs électorats.

A posteriori, l'électorat internaute de Nicolas Sarkozy au premier tour de la présidentielle apparaît comme moins actif politiquement (les résultats observés auprès de cette cible se situent toutefois dans la moyenne observée au niveau national), la palme de l'activisme politique revenant ici aux électeurs de Ségolène Royal et Jean-Marie Le Pen.

Quant au candidat frontiste, la mobilisation de ses électeurs sur la toile a sans doute été favorisée par l'appropriation déjà ancienne de ce vecteur d'information par le Front National pour communiquer à destination de ses électeurs, notamment grâce à la vidéo, ce qui expliquerait le recours relativement fréquent à la vidéo politique chez ses électeurs du premier tour (35% contre 19% en moyenne).

Elément de surprise, les électeurs de François Bayrou affichent un niveau d'activité politique sur la toile comparable à celui observé parmi les soutiens politique de Nicolas Sarkozy, alors que la mobilisation en sa faveur sur la toile laissait espérer des résultats plus élevés.

(Source : http://blog.netpolitique.net/index.php/)

27 mai 2007

Technologie et Politique

Cette campagne a révélé un grand nombre de changements, essentiellement à deux niveaux : à la fois au niveau technique, logistique et organisationnel, et à la fois sur le plan des idées et des philosophies développées.

Nouvelles technologies et nouvelles manières de penser ne sont-ils pas étroitement liés ?

Comment penser que Ségolène Royal aurait pu axer toute sa campagne sur l'aspect participatif si Internet n'avait pas été là ? C'est en fait son site désir d'avenir qui lui a permit d'installer un dialogue de longue durée avec plusieurs millions de français. C'est également Internet qui lui a permit de diffuser de manière très régulière des messages de vidéo en ligne.

Même chose pour Nicolas Sarkozy : il a énormément jouer sur son rapport de proximité avec les français, notamment en accordant de nombreuses interviews en "podcasting". Les jeunes partisans de l'UMP ont également fait un très grande campagne de sensibilisation sur le WEB : on retrouvait leurs messages sur tous les forums de discussion consacrés à la politique : commentaires sur les sites des émissions politiques télévisuelles, blogs à l'éffigie de Sarkozy etc...

Internet serait donc un outil de communication offrant des spécificités particulières qui ouvrirait la voie aux attentes latentes d'un grand nombre de français.

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15 mai 2007

Sarkozy et Royal dans les médias : Youtube en parle !

Youtube (et sa voisine Dailymotion) seraient-elles devenues comme certains chercheurs l'affirment "des nouvelles télévisions politiques auto-constituées de manière spontamnée" ?

Une fois n'est pas coutume, je livre ici une vidéo qui fait réfléchir... info ou intox, c'est toujours bien d'écouter ! Et après, chacun est juge...

Bon... pas brillant tout ça. Mais Youtube aime aussi Ségo : voici un exemple !

14 mai 2007

Internet : quelles conséquences sur le scrutin ?

De la sacrosainte télévision traditionnelle à l'Internet sauvage !

Jusqu'aux dernières élections, le contrat était clair : le résultat de l'élection présidentielle était communiqué à vingt heures pile. Les français étaient tous branchés devant leur poste de télé, et attendaient avec une certaine angoisse de voir apparaître l'heureux élu ! C'est ainsi que tout le monde garde en mémoire le visage "surprise" de Jean-Marie Le Pen en 2002 !

Bref, la télévision était reine, et les autres médias ne faisaient quasiment que relayer l'information, à postériori.

Mais voilà qu'Internet se mèle au jeu, sans pour autant respecter toutes les règles !

La polémique a débutée avec Jean Marc Morandini, sur la radio Europe 1, qui avait annoncé qu'il publierait les résultats des élections sur son blog... à partir de 18 heures ! En effet, les instituts de sondages donnent leurs premières estimations sérieuses à partir de 18h30. Problème : il y a un cadre légal qui impose aux médias de respecter la limite des 20 heures. Cependant, Internet n'a pas de frontières nationales ! Il est très facile de communiquer l'information dans un pays voisin, et notamment en Suisse ou en Belgique !

...et ce qui avait été prévu arriva ! Le site Internet de la RTBF a publié les résultats des élections à 18h00. Et quelle surprise : non seulement le résultat s'est avéré juste, mais en plus les pourcentages indiqués étaient exactement les mêmes qu'à 20h00 !!! Beaucoup de sites ont alors lâché l'information, ce qui a provoqué la colère des grands médias traditionnels, qui eux, étaient soumis à beaucoup plus de contrôle car tout simplement plus contrôlable de part la nature du support d'information !

Mais quels problèmes celà pose-t-il ?

D'un côté, les diffuseurs du WEB parlent "du droit à l'information", argumentant en disant que tout le monde est au courant... sauf le peuple, qui devrait attendre 20heures? (en effet, les politiques ont des oreilles partout et connaissent donc très tôt les diverses tendances). De l'autre côté, les détracteurs parlent d'une absence de logique au niveau du contrôle de l'information dans la mesure où certains sont tenus de respecter la loi et d'autres peuvent s'y soustraire. Au delà de ça, cela pose aussi le problème du droit du scrutin. En effet, dans quelle mesure un communiqué sur les résultats ne peut-il pas influencé les derniers votes , sachant que les dernieres bureau de vôte peuvent rester ouvert jusqu'à 20heures ? Le Principe essentiel du droit électoral français réside dans l'assurance légale de préserver de toute interférence extérieure le droit de chaque citoyen à la libre expression de son suffrage.

"Si des informations étaient diffusées avant 20 heures alors que des électeurs ont encore la possibilité d'aller voter, le risque existe de voir certains électeurs renoncer à voter parce que le résultat serait prématurément présenté comme acquis, ou de voir leur vote influencé par des informations diffusées illégalement et dont l'ensemble du corps électoral n'aurait pu disposer ", explique Gilles Bachelier, le rapporteur général de la Commission de contrôle de la campagne en vue de l'élection présidentielle (CNCCEP).

Enfin, on estime qu'un français sur deux n'a pas d'accès Internet à domicile : il y aurait donc "ceux qui peuvent être informé" et "ceux qui devrait attendre" ?

Deux lois encadrent le principe du droit électoral et les sanctions sont particulièrement sévères. Que faire alors du côté des journalistes "frôdeurs" ? Diffuser l'information à l'étranger ? Non, répond encore Gilles Bachelier :

"l'annonce fait par certains blogueurs de vouloir délocaliser leur site à l'étranger n'est pas une issue de secours car la loi pénale française est applicable à tout crime commis par un Français hors du territoire de la République."

Problème tout de même, comme l'a démontré la réalité des faits : les journalistes belges de la RTBF ont publiés les résultats ! Or les médias étrangers ne sont pas soumis à la législation française ! De plus, il y a eu effet de domino puisque de nombreux blogs ont alors eux aussi diffusé l'information : difficile donc de surveiller tout le monde !

En conclusion, c'est donc bien en amont qu'il faut organiser les choses, et notamment en imposant de nouvelles règles aux instituts de sondage, qui sont les tout premiers à détenir l'information....

11 mai 2007

Les boulettes des présidentielles : la guerre du WEB !

Le site Zataz : des auteurs qui répertorient quelques conséquences assez incroyables dûes au rôle d'Internet durant la campagne présidentielle française...

http://www.zataz.com/news/13977/Les-Francais-ont-vote-et-choisi-le-23e-President-de-la-Republique-Francaise.-Retour-sur-les-coquilles_-les-manipulations-et-les-piratages-qui-ont-touche-cette-periode-cruciale-de-la-democratie-Francaise.html

EXEMPLE :

Ainsi, à propos du débat télévisé, il explique, je cite, qu' à "22:36, lors du débat entre la candidate du PS, Ségolène Royale, et le candidat de l'UMP, Nicolas Sarkozy" a eu lieu un étrange phénomène sur le portail communautaire encyclopédique Wikipedia !

Tandis que les deux candidats parlaient du réacteur nucléaire EPR, en polémiquant sur le fait qu'il s'agisse un modèle 3ième ou 4ième génération, "un inconnu a modifié la page dédiée à cette information" .

Conséquence : les internautes les plus rapides ont consulté immédiatement l'encyclopédie libre qui a répondu tout net: "En République populaire de Chine, Areva a participé, en proposant l'EPR, à un appel d'offre pour la construction de quatre réacteurs de génération IV".

Faux ! Il s'agissait bel est bien de la troisième génération ! A qui profite ce crime ? A l'un des deux candidats, et devinez lequel ?
En réalité, Zataz explique que "l'article avait été modifié quelques secondes auparavant par un auteur anonyme (client Wanadoo - basé à Nancy-sur-Moselle) soucieux de "rectifier" l'information diffusée lors du débat".

Un simple changement donc entre le "III" en "IV", et le tour est joué ! Mais un autre internaute veilleur a supprimé ces modifications.

(Source : Wikipedia, Nico, Ségo et le pirate, article publié le 3 / 5 / 2007 par le site Zataz)

10 mai 2007

Daniel ulcéré par le Yacht de Sarko !

               "L'effroi médiatique sur le yacht glissera sur les électeurs de Sarkozy", parie Daniel Schneidermann            

               

Lu sur le Web "Le smicard qui a voté Sarkozy est peut-être ulcéré de voir son voisin Rmiste gagner autant que lui sans se lever le matin, mais le yacht de soixante mètres le laissera de marbre", affirme l'éditorialiste de "Libération", sur son Big Bang Blog. Il compare le show de Sarkozy depuis le 6 mai aux débuts de Loft Story. Et insiste : "Vous n'êtes pas obligés de regarder."

http://www.bigbangblog.net/article.php3?id_article=617


Dans Le Monde, réponse de l'intéressé qui "ne voit pas la polémique" : 

http://www.lemonde.fr/web/depeches/0,14-0,39-30822410@7-354,0.html

9 mai 2007

Une WEB Présidentielle ?

Un article intéressant du journal La Provence, sur l'importance du WEB dans le choix électoral des francais durant la campagne présidentielle :

http://www.laprovence.com/articles/2007/02/14/20070214-Les-enjeux-La-premiere-web-presidentielle.php


Autre article allant dans le même sens, publié sur Technaute.com :

http://technaute.lapresseaffaires.com/nouvelles/texte_complet.php?id=81,12399,0,042007,1349131.html&ref=top_long

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